transmissions

 Depuis 2010, Olivier Barrere est intervenant auprès de deux options théâtre en lycée et depuis 2013 auprès de l’option des classes préparatoires (Hypokhâgne et Khâgne) du lycée Mistral d’Avignon.

 

Au cours de ces années, il a développé un travail autour du récit et du travail choral, axé dans la direction d’acteur sur l’alternance entre entre narration et incarnation. 

 

Il s’est notamment appuyé sur deux créations auxquels il a participé comme comédien et qui ont structuré son parcours et son désir de mise en scène : l’écriture de Patrick Kermann  avec la Mastication des morts par le groupe Merci (festival IN 1999) et un texte de Noëlle Renaude Ceux qui partent à l’aventure  avec la Cie Didascalies and co de Marseille.

 

Ecriture de plateau, travail choral, questionnement de la forme, questionnement de la notion de personnages et de figures, d’incarnation simultanée ou concomitante par plusieurs comédiens, recherche d’un statut actif pour le public (multiplication des points de vues, des outils d’analyses dans une recherche polysémiques) sont les bases d’expérimentation qui m’ont guidé au cours de ces années.

 

Avec l’option du lycée Fabre (Carpentras), Nous avons successivement mis en chantier des travaux à partir de textes de Eugène DURIF, Rémi DE VOS, Noëlle RENAUDE, Jean-Luc LAGARCE, Botho STRAUSS, Eugène IONESCO, Alain GAUTRE, Bertold BRECHT, Frédéric LORDON, Bertold Brecht et Perrine Griselin

 

Avec l’option du Lycée René Char, ce sont de oeuvres de Matéï VISNIEC, Jean-Michel RIBES, Joël POMMERAT, Dominique RICHARD, Patrick KERMANN, Laurent GAUDE, Louis CALAFERTE, David LESCOT qui ont été abordées.

 

Enfin, l’option des classes Hypokhâgne et Khâgne du lycée Mistral (Avignon) m’a permis d’expérimenter des mises en forme de La vie de Galilée de Bertold BRECHT, L’amour d’un brave type d’Howard BARKER, La visite de la vieille dame de Friedrich DURENMATT, La petite Catherine de Heilbronn de Heinrich VON KLEIST, A tout ceux qui de Noëlle RENAUDE ou encore La réunification des deux Corées de Joël Pommerat.